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devenez consommacteur de votre quotidien

26 mai 2011

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26 mai 2011

power point

4 février 2011

plan du site

01. Plan du sitepub

02. Pourquoi ce blog

03. Quelques définitions

04. Consommation et alors?

05. Des propositions concrètes

06.Les plus militants

07.Propositions d'actions concrètes

08.Bibliographie

09.Situation pédagogique et mentions légales

 

3 février 2011

La crise et ses conséquences

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La crise financière subit par les pays développés à conduit à la formation de nouveaux modes de consommation dont le but premier semble être la recherche d'un meilleur niveau de vie en trouvant des alternatives à la consommation de masse et au capitalisme. La population s'est retrouvé face au problème de savoir comment garder un pouvoir d'achat et un niveau de vie comparable à l'avant crise tout en dépensant moins d'argent et en arrêtant de participer à l'enrichissement de ses sociétés qui nous ont plongé dans cette crise. C'est ainsi que sont nés des modes de consommation comme le troc de biens ou de services, l'achat de produits d'occasion dans les brocantes ou sur internet pouvant être remis à neuf. Nous avons pu constater le boom de certains sites comme Ebay où nous incarnons les vendeurs et les acheteurs. De plus, la société de consommation dans laquelle nous vivons nous formate pour nous imposer des standards de consommation . Nous sommes sans arrêts matraqués par les pubs et autre affiches publicitaires servant à nous montrer le chemin de la consommation, à nous faire croire que le réalisation de soi passe par l'achat de certains produits: vêtements, chaussures, voitures, téléphones portables, produits de technologie numérique.

 

La crise a provoqué une prise de conscience quant à la précarité de notre situation . Cette prise de conscience à donner naissance à des modes de consommation dits « responsables » comme le commerce équitable, l'agriculture biologique, le commerce de proximité, le développement durable, etc...

2 février 2011

Le consom'acteur

La consom’action ou consommation responsable est un néologisme qui exprime cette idée selon laquelle on peut « voter avec son caddie » (cliquez pour rejoindre le groupe facebook) en choisissant à qui l'on donne son argent, en choisissant de consommer de façon citoyenne et non plus seulement de manière consumériste.

Plus de 80% des consommateurs estiment qu'indiquer les bonnes conditions de fabrication du produit constitue un bon argument de vente. Du fait de l’évolution des consciences et des nouvelles technologies de communication, les attentes des consommateurs évoluent vite, leur sensibilisation au développement durable s’approfondit et ils sont de plus en plus nombreux à mettre en cohérence leurs actes d’achats avec leurs déclarations en prêtant une plus grande attention aux caractéristiques sociales, environnementales et éthiques des produits qu'ils achètent.

Qu'est-ce que cette entreprise fait pour moi ? Comment participe-t-elle à l'évolution harmonieuse de la société ?

Dans quelles conditions ces chaussures ont-elles été fabriquées ? Des enfants ont-ils travaillé pour les produire ?

Cette marque contribue-t-elle à la sauvegarde de la planète ?

Ce produit est-il nocif pour ma santé ?

Ces questions, que les consommateurs sont de plus en plus nombreux à se poser au quotidien, résument les enjeux de la consom'action.

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1 février 2011

Capitalisme , société de consommation, pouvoir d'achat??? quesaquo???

Le capitalisme :code_barre_prison

Si le mot capitalisme désigne de l'avis général un système économique et social particulier, le contenu du terme renvoie à de multiples définitions, portées par des auteurs qui n'accordent pas chacun le même poids aux caractéristiques suivantes :

 

* le rôle premier du capital, qui implique la possibilité de le détenir , de l'échanger ( par ex : en bourse), de l'accumuler , de l'investir , et d'en faire libre usage selon les droits attachés au droit de propriété (droit d'user et d'abuser défini par les juristes )

* la liberté individuelle d'entreprendre , d'où la propriété privée des moyens de production,

* la justification et la recherche du profit en tant que sanction de l'effort et de la prise de risque par l'investisseur,

* la liberté des échanges économiques et la concurrence économique au sein d'un marché et plus généralement dans le cadre de l'économie de marché.

 

Première définition : Selon les tenants du libéralisme, le capitalisme serait entièrement défini par des critères juridiques : l'existence et la garantie du principe de liberté du commerce et de l'industrie, avec ses corollaires immédiats : l'esprit d'initiative , la liberté d'entreprendre , la propriété privée des moyens de production.

Selon cette conception , le régime capitaliste existe dès lors que les individus ont le droit de posséder et de disposer librement des biens de production et des fruits de leur utilisation, et de pouvoir les échanger librement, sans aucune contrainte, avec d'autres agents. Dans ce régime, les propriétaires de moyens de production peuvent déterminer librement leurs actions en réalisant les arbitrages qui leur paraissent les plus pertinents :

 

* souci de servir les consommateurs,

* rémunération des collaborateurs et salariés,

* recherche du profit,

* accumulation du capital ou d'un patrimoine.

 

Dans cette conception, la recherche du profit monétaire et l'accumulation de capital ne sont pas - a priori et de façon dogmatique - les seules finalités offertes aux agents , et ne constituent pas pour tous une obligation ou une priorité exclusive et absolue . Si cette nuance mérite d'être prise en compte, force est de reconnaître que - dans la pratique et pour une majorité d'opérateurs intervenants en régime capitaliste - le mobile prioritaire, sinon principal, de l'activité économique n'en demeure pas moins la recherche du profit. Profit légitimé et justifié par le fait qu'il est :

 

* la " juste " rémunération de l'effort et de la prise de risque du capitaliste.

* le résultat d'un équilibre "optimal" régulé à tout moment par les forces du marché et de la concurrence .

 

Deuxième définition : Des auteurs plus critiques ( notamment d'inspiration marxiste ) , refusent cette vision qu'ils qualifient d'idéaliste , et présentent le capitalisme comme un régime économique et social hautement cohérent , tendu vers la recherche du profit, l'accumulation de capital. Régime dans lequel les travailleurs ne sont pas propriétaires de leurs outils , mais seulement de leur force de travail. Ce régime est par eux dénoncé puisque les moyens de production sont accaparés et utilisés dans l'intérêt du "capitaliste" qui en est le propriétaire exclusif , qui n'agit pas dans l’intérêt de la collectivité , mais en réalité dans son seul intérêt , comme le fait une personne privée lorsqu'elle gère ses biens propres . Dans cette perspective , l'alternative positive est d'instaurer la Socialisation des biens des moyens de production où toutes les ressources et tous les moyens de production deviennent la propriété de la collectivité et sont gérés par un collectif ou un État représentant de cette collectivité .

La consommation :terre__cas_e

Dans le vocabulaire courant, la consommation désigne un ensemble de comportements réalisés :

  • par des consommateurs, des entreprises ou l'État.

  • dans le but de satisfaire des besoins ou désirs.

  • depuis la décision et les modalités d'achat de biens ou services,

  • jusqu'aux interactions entre les multiples paramètres qui - en amont ou en aval - gravitent autour de l'achat et de son usage .

 

Vision écologique :

En écologie, la consommation désigne l'assimilation, l'ingestion ou l'utilisation par un organisme de ressources naturelles. La consommation entraîne presque toujours l'apparition de déchets. Lorsque de nombreux organismes consomment au même endroit, l'écosystème où la consommation a lieu accumule des déchets. Ces déchets peuvent alors parfois servir de ressources à un ou plusieurs autres organismes. Dans les cas où le cycle biogéochimique est interrompu, des problèmes écologiques apparaissent entraînant l'effondrement ou le déséquilibre de l'écosystème.

 

La société de consommation :

l_uniformeLe terme « société de consommation » est la simplification du terme « société industrielle de consommation dirigée », défini par Henri Lefebvre comme étant l'état du capitalisme d'après la Seconde Guerre mondiale.

Une société de consommation est une société dans laquelle l'achat de biens de consommation est à la fois le principe et la finalité de cette société. Dans celle-ci, le niveau moyen de revenu élevé satisfait non seulement les besoins considérés comme essentiels (alimentation, logement, éducation, santé,…) mais il permet aussi d'accumuler des biens (par plaisir, pression sociale ou publicitaire) et de les utiliser ou juste les montrer (pour des raisons esthétiques ou autres), dépenses que certains jugent superflues. Son symbole est l'objet « consommable » qui s'use et qu'il faut renouveler, voire l'objet jetable. S'il est possible de produire des objets plus résistants, cela augmenterait leur coût et leur durée de vie, ce qui nuirait alors à la consommation.

 

31 janvier 2011

Un consommacteur qu'est ce que c'est???

Philippe Moati, professeur d’économie à l’Université Paris –Diderot et directeur de recherche au CREDOC revient sur les comportements des Français en matière de consommation et présente les nouvelles tendances qui se profilent en la matière.

 

Les comportements de consommation actuels datent des années 2000

Les grandes tendances de consommation perceptibles aujourd’hui sont apparues dans les années 2001/2002. Elles se caractérisent par :

  • une consommation dite de « rigueur » dû à un pouvoir d’achat jugé par les Français comme étant en berne;
  • une exigence forte en matière de rapport qualité/prix ;
  • un souci d’acheter « utile » et au meilleur prix.

Les consommateurs comparent de plus en plus les produits et pratiquent « l’achat malin ». Ils deviennent selon Philippe Moati de vrais « professionnels » ; des consom’acteurs. Une manière d’acheter sans trop dépenser et une façon de donner du sens à ce qu’on achète. Le développement des achats bio, commerce équitable, achat direct au producteur en sont des exemples.

Des indicateurs mesurent ce changement

Un certain nombre d’indicateur permette de mesurer cette évolution :

  • une forte pénétration des marques de distributeurs au détriment des « grandes marques » : les consommateurs achètent volontiers des produits « premier prix » ;
  • une plus grande sensibilité des consommateurs aux réseaux de hard discount. Ce qui était rejeté au début devient une habitude aujourd’hui.

Cette « maturité » des consommateurs démontre une capacité à mieux surfer sur la diversité de l’offre. C’est le résultat d’une meilleure information des consommateurs tant sur les marchés, les produits que les prix.

Une hyperconsommation qui tant à évoluer avec la crise

Si la consommation reste une valeur fondamentale de la société, quelques voix s’élèvent pour en dénoncer les excès tant pour la collectivité (catastrophe écologique,..) que sur un plan plus personnel (illusion de l’équation « plus de consommation=plus de bonheur »).

Par ailleurs, si la crise économique (hausse du chômage,…) perdure, elle risquera d’accentuer ces phénomènes et laissera émerger des attitudes qui s’écarteront du modèle d’hyperconsommation.

Vers un autre modèle de consommation ?

Selon Philippe Moati, nous pourrions passer d’une économie des produits à une économie des effets. Une consommation plus centrée sur l’achat de temps, de biens et de services pour s’épanouir, mieux être.

Cela serait l’occasion de :

  • renouveler l’envie de consommer ;
  • créer de nouveaux marchés ;
  • prendre en compte les impératifs économiques et environnementaux.
30 janvier 2011

le pouvoir d'achat

 

En économie, le pouvoir d'achat d'un revenu (salaire ou autre) est la capacité d'achat en termes de biens et services que permet ce revenu. En particulier, le pouvoir d'achat d’un ménage (personnes vivant sous un même toit) est la capacité d’achat que lui permet l’intégralité de ses revenus. Il dépend donc de la somme en question et du prix des biens et services.

Les évolutions du pouvoir d’achat sont égales aux variations des revenus en valeur réelle (c’est-à-dire aux variations des revenus en valeur nominale corrigées des effets de l’inflation).

C'est une expression récurrente en politique, soit pour fustiger l'évolution négative qu'on impute à l'adversaire, soit pour conquérir l'électorat en réaffirmant combien on souhaite la croissance économique.

Pour un pays, le pouvoir d'achat global est égal au revenu national brut. Sur le long terme, il croît au même rythme que le produit national brut du pays, mesuré en volume1. En effet, hors le crédit, on ne peut consommer que ce que l’on gagne. À la création de la monnaie près, toute hausse du pouvoir d’achat permise par hausse de l’endettement (public ou privé) sera compensée par une future diminution du pouvoir d’achat nécessaire pour rembourser cette dette.

 

29 janvier 2011

Le consumérisme

Le terme consumérisme est parfois utilisé en sociologie ou dans le language courant pour qualifier une idéologie économique où la consommation de biens et services dispose d'une place capitale dans la société, sans qu'une idéologie politique lui soit clairement associée, ou si c'est le cas, de manière subtile et insidieuse. On parle alors de société de consommation.

28 janvier 2011

Anti consommation

L’anticonsommation désigne le mouvement sociopolitique opposé à la consommation, qui critique les effets d'une économie de marché sur l'individu.b_b__pub

L’anticonsommation est à mettre en parallèle avec l’activisme anti-entreprises, environnemental (protection de la nature, droits des animaux, conséquences écologiques de l’activité économique) et les mouvements antimondialisation, notamment dans leur condamnation des pratiques des multinationales (voir l’affaire McLibel).

De nombreux ouvrages (No Logo de Naomi Klein, sorti en 2000, en est le meilleur exemple;Altermondialistes chronique d'une révolution en marche de Loïc Abrassart et Cédric Durand ) et des films (The Corporation (2003), Surplus (2003)) proposent au public des arguments anti-entreprises et anticonsuméristes, comme avant eux, le comédien américain Bill Hicks ou l’intellectuel italien Pier Paolo Pasolini.

L’opposition au matérialisme économique a essentiellement deux origines : la religion et l’activisme social. Les religions s’opposent au matérialisme pour essentiellement deux raisons : il interfère dans la connexion avec le divin et mène à un style de vie immoral. Pour certains activistes sociaux, les guerres, les crimes et le malaise social général sont liés à certains aspects du matérialisme car il est incapable d’offrir une raison d’être saine à l’existence humaine.

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